Transition vers le sud

Pour les lecteurs acharnés de nos aventures, voici la suite...
Nous avons donc quitter Balli et sa petite famille pour rejoindre la petite ville d'Orchha (très agréable). Nous avons passé de la vie familiale indienne à la vie familiale occidentale... En effet on s'est fait deux différents groupes d'amis touriste dont l'un fut particulièrement chaleureux.
Le premier été composé de touristes rencontré dans nos précédentes étapes. Dans le bus de Kahjuraho-Orchha, nous avons retrouvé une chinoise prénommée Ann qui été dans la même guesthouse que nous à Kahjuraho et Becca et John un couple americo-anglais de touristes que l'on avait déjà croisé plusieurs fois à Varanasi. Ce faisant nous avons cherché une guesthouse commune, afin d'ameliorer notre pouvoir de marchandage, où nous avons retrouver deux allemandes délurées qui logées elles aussi dans la même guesthouse que Ann et nous.
Mais ce sont les nouvelles rencontres avec les quelles nous nous sommes liés d'amitié. Marie-Claire et Tomas sont deux voyageurs solitaires qui se sont eux aussi croisés à plusieurs reprises pour finalement se retrouver avec nous a siroter des tchaï sur les terrasses d'Orchha. Tomas, un suédois philosophes à ces heures et flutistes dans les autres, a animer des débats endiablés sur des thêmes allant de l'analyse socio-politique à la sexualité indienne... On connait maintenant des trucs sur les indiens que vous ne pouvez pas imaginer... Marie-Claire une quebequoise à l'humour ravageur et à l'energie débordante possédé toujours la replique qui tue dans les debats... Nous avons d'ailleurs passé une journée mémorable avec Marie-claire au cours de laquelle nous avonsendosser le rôle d'aventurier lors de l'exploration de tunnels sombres et inquiétants... d'archéologues déchiffrant des manuscrits oubliés dans les ruines des forts où logeait les occupants anglais... et enfin celui d'artistes dansant et chantant pour la cour située au pied du palais de Datia. Bref on s'est écalté.
Tomas finissant son voyage, repart pour stockholm où nous espérons le revoir un jour lors d'un futur voyage en suéde. J'en profiterais aussi pour fiare la bise à mon frangin.
Nous devrions revoir Marie-Claire en Inde car elle sera à Hampi ) peu près en même temps que nous, puis nous devrions la rejoindre avant de partir à Pondichery où elle prépare un documentaire pour son Master d'anthropologie.


Après ça a été la loose...
remontant du marché avec un kilo de raisin à la main, un perfide petit voleur simiesque a courut à ma rencontre pour me passer à coté et déchirer le sac plastique que je tenais e,portant avec lui son butin sucré. Ayant toujours envie de fruits, nous sommes repartis au marché... Cette fois-ci le sac été fermement tenu dans mes bras et lisa guétait de son oeil d'aigle le moindre mouvement de nos affamés. Elle eue le reflexe de me prévenir d'un mouvement squspect provenant de ma gauche. Et là... un singe me regardait (enfin regardait plutot le sac) avec une lueur de malice. Et là... tout s'est accéléré. Il s'est intéressants, la rencontre avec nos cousins les singes. Dans toute l'inde nous en avons vu pour l'instant deuxapproché de moi, j'ai raffermi ma prise sur le sac... Il continua de s'approcher avec un air qui ne laissait nul doute quand à ses intentions... Je levais donc un peu plus haut le sac pour le mettre hors d'atteinte... et là... Il m'a sauté dessus posant ses pattesOn a fait une escale à Omkerashwa sous les conseils de plusieurs rencontre. Et arrivé sur place, nous avons comme beaucoup types. Les blancs a face noire, qui sont joueur et adorent le pop-corn qu'on leur tend dans la main. Les jaunes à face rouge, qui sont aggréssifs et adorent le raisin que l'on arriéres sur d'autres touriste de passage épprouvé une grosse décéption. La ville bâtie autour d'une île en forme de Om (le premier qui me trouve ce que c'est a un point), a tout pour plaire mais ne plait pas... En effet malgré la belle vue, les personnes souriantes, les singes et les chauve-souries géantes, on ne se sent pas bien. C'est peut-être à cause du surplus de touristes venant pour fumer des shilom ou le bruit constant hantant les rues... la même chanson passe en boucle dans toute les échoppes (et ce en décalé en plus). Seuls points protége de nos bras... explications : en mes bras et tirant de toutes ses forces sur le sac... je dus le reppousser violemment pour sauver notre raisin... Il fut projeté à quelques metres mais montra ses dents... Je montrais les miennes... Il grognat... Je criait plus fort avec des grands mouvements et des claquements de pieds... et là... il partit! Nous pûmes donc rentré à notre guesthouse la tête haute avec notre trésor. Ce jour là, l'homme avait vaincu la bête!!!


Remis de nos émotions nous avons continuer notre route vers les caves d'Ajanta, là encore sur le conseil de touristes. Et après plus de 10h de voyage éprouvant nous avons rejoint notre deuxième deception... la bourgade d'Ajanta. Si les temples boudhiques sculptés dans la falaise en forme de fer à cheval étaient jolies, la ville ne nous a pas réconforter des pénibles heures de transport. Mais comme rien ne nous abat, nous avons quand même expérimenter une nouvelle 'aventure' : le barbier indien. C'était la première fois pour moi et c'était bon et doux. J'ai du perdre au moins un kilo de barbe...


Nous écrivons actuellement d'Aurangabad, où nous allons prendre un train de nuit pour Mumbay. Et de là nous reprendrons un train de nuit en direction de Goa. Nous avons décidé de changer le rythme en ne faisant plus que quatre étape: Goa, Hampi, Kochi et Pondichery.